New year, new me bullshit

Alors oui je suis du genre à prendre mes bonnes résolutions 1 mois après la nouvelle année. Puis c’est pas vraiment des bonnes résolutions, puisque tout le monde le sait, c’est « has been ».

En fait ce n’est même pas vraiment des bonnes résolutions. Quelques événements dans ma vie d’étudiante m’ont poussée à me bouger les fesses et à enfin VIVRE ma vie et non la SUBIR.

Sans être actif, nous tombons dans la routine, quoi de plus normal. Nous sombrons dans ce planning, fait pour nous et que nous devons respecter jusqu’au jour où nous mourrons, mort programmée elle aussi d’ailleurs (je vous invite à aller voir pourquoi je parle de mort programmée, grâce à cette conférence de M. Dishman, si vous avez le temps et si cela vous intéresse). Mais, si nous choisissons d’être actif et ainsi de vivre pleinement notre vie, l’échéance mortelle sera bousculée. Puisque nous sommes ici pour vivre notre vie, autant bien le faire, non ?

Certains dirons que la vie d’étudiant est une vie bien tranquille, que les problèmes sont loins, que tout étudiant a une existence paisible. Le fait est, messieurs dames, que nous restons des êtres humains avec la faculté de penser, d’éprouver des sentiments, des émotions. Alors certes, si pour certains d’entre nous les contraintes financières ne sont pas au rendez-vous puisque nous sommes à la charge de nos parents (merci infiniment papa et maman), nous n’en restons pas moins des êtres sensibles et pensants.

Une rupture, de la maltraitance, un traumatisme, un choc, tout ça nous le percevons et comme nous sommes pour la plupart encore de grands ados, nous l’éprouvons de manière plus intensive que les adultes.

Tout ce laïus m’amène à vous dire que quelques événements passés m’ont marquée, profondément et sans doute à vie. Une période un peu sombre se tourne, pour laisser place au renouveau. Cette année, je VIS.

New year, new me bullshit

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